16h28. Nous sommes dimanche, le premier dimanche du mois pour lequel il a était choisit...

16h28.

Nous sommes dimanche, le premier dimanche du mois pour lequel il a était choisit de rajouter un jour de plus tous les 4 ans, chaque année durant en réalité 365.25 jours.

Il est donc actuellement le 7 février 2016.

Un jour de plus est porteur de possibilités à ne pas sous-estimer.

Comme pour la plupart des dimanches, ce fût repas de famille chez cette ô si spéciale et si aimante (ton sarcastique mais avec un fond de vérité) grand mère.

Toujours les mêmes propos qui ne changerons rien concrètement tant dans nos esprit que dans ce monde étant donné que les paroles et critiques que notre chère père et d'autres membres de la famille surtout du côté paternelle étant donné que nous n'avons pas de quelconques nouvelles du côté maternel s'efforcent de crachoter sont foncièrement dénués d'actes.

Alors, après 18 années à subir ça, je commence à me dire que la meilleur des choses à faire et de les laisser, quoi que je puisse dire, cela ne changera et c'est extrêmement lassant, alors je reste assis dans mon coin, au bout de la table me servant des plats proposés comme bon me semble et sans dire un mot.

Résultat : remarque affable du patriarche énonçant, je cite "à 8 ans, tu étais plein de vie".

Oui, à 8 ans. Plein de vie ? Je n'en sait rien puisque je n'ai que des brides de souvenirs de ces époques ô combien proches mais si lointaines dans mon esprit.

Très souvent, j'ai l'impression d'être né il y a quelque années seulement.

Enfin bref, ce sera le sujet d'un prochain article sûrement, mon temps étant compté en cet après-midi couverte nuageusement parlant.

Et aujourd’hui alors, que -ou plutôt qui- suis-je ? Un pauvre petit garçon fait de miettes qu'on a recollé maladroitement ayant perdu le sens de la discussion et de la parole.

Mais bon, ce n'est pas grave. Je vais faire avec.

Hier, en prenant le bus pour me rendre dans mon habitat secondaire, j'ai croisé un vieux pote, surdoué, évidemment, sinon ça n'aurait rien de drôle.

J'ai été sacrément bâtard (avec accent circonflexe, s'il vous plait ;-). Ne croyez pas que tout est perdu même si, c'est vrai, j'ai quand même du mal avec tout ce qui touche à la terminologie, je vais mettre cela sur mon manque d'envie de faire des efforts pour vous proposer un texte fluide et claire plutôt que sur le compte de l'émotion, il faut savoir assumer nos actes de temps à autre ) avec lui pendant un certain temps, j'éspère aujourd'hui me rendre compte qu'il s'agit d'une aubaine plus qu'autre chose de le connaître !

Pendant un moment, j'ai éprouvé le désir ardent d'avoir une condition très similaire à la sienne, mais cette bière partagée à ses côtés sur cette terrasse ensoleillée englobée dans une atmosphère quelque peu trop incandescente à notre gout pour cette période de l'année m'a fait réfléchir.

Puis je me suis dit, que, au final, ce n'est peut être pas si mal que ça de ne pas avoir quelque chose de fondamentalement différent des autres. On ne doit pas s'en vouloir à soi-même, j'ignore si je me dis ça pour me rassurer mais le voir être comme cela, comment dire... ce n'est pas quelque chose d'aussi simple que ce que l'on pense au premier abord.

Enfin bref, à présent, je me doit d'accomplir mes buts et tracer ma routé au delà de celle que d'autres se sont efforcés de dessiner avant moi.

Je me le dois à moi même et à d'autre, mais surtout à moi.

Il faut que je cesse de me penser nul et bon à rien.

Je dois atteindre les sommets, ce n'est plus un simple désir, c'est une question d'existence, vivre ou mourir, la quête de toute ma vie et je ne dois rien lâcher.

Ce sera dur, je vais en chier. Mon cerveau ne pas toujours suivre le rythme, mais je vais me forcer. Il faut que j'atteigne mes buts et que je réussisse. En dépit de tout.

En dépit des autres, des proches comme de mes "ennemis", je me doit de devenir imbattable, irréprochable.

La vie est devant moi, vous serez derrière.