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Surpasser.

Retour.

29 Juillet 2019 , Rédigé par -Alterman

Me revoilà plus de 3 ans après ma dernière publication ici.

Nous sommes le lundi 29 juillet 2019 et il est 23h55.

Le dernier article faisait état de de mes lacunes en ce qui concerne le domaine des interactions sociales.

Il semblerait que le fond du problème n'est pas changer malgré le fait que j'ai su développer 3 ou 4 relations depuis l'écriture du dit article. 4 relation en 3 ans, je ne sais pas si je dois m'effondrer devant cet état de fait ou prendre cela comme symbolisme de l'absurdité qu'est ma vie. Combien de nouvelles relations chronique la plupart des personnes développent-elles en ce laps de temps ? 

Je souffre potentiellement d'autisme asperger et cela ma fait du mal de l'indiquer ici puisque c'est en quelque sorte un ancrage de cette hypothèse dans le réel. Je me retrouve dans plusieurs des symptomes pouvant amener à penser à ce que je présente ce trouble neurodéveloppemental. 

J'ai donc engager des démarches dans le but de rencontrer des personnes chargées de poser le diagnostique. Je ne sais pas encore ce que m'apportera cette démarche. Après la dépression et les troubles dissociatifs (dépersonnalisation), il ne faut pas s'étonner si je développe encore d'autres pathologies ou que d'autres troubles se révèlent. Là aussi j'ignore des pleures et des rires lesquels sont de circonstance. Je suppose que les pleurs le sont là tout de suite, étant donné l'état de profonde tristesse dans le quel je me trouve dans l'ici et maintenant. 

Pour ce qui est des changements positifs, je réalise un coaching en gestion des émotions. L'expression porte à sourir mais je suis d'avis que ce genre de formations relatives à notre fonctionnement sont d'utilité sociétale, tant les actions résultantes de sauts d'humeurs sont nombreuses et aux conséquences malheureusement encore de trop nombreuses fois négatives. 

D'un point de vu purement scolaire, je resterai volontairement imprécis, mais j'entame actuellement un bac+4 dans un domaine plutôt compliqué. L'idée m'est absolument désagréable si bien qu'il m'arrive encore de ne pas dormir simplement à cause de rumination aillants pour sujet cette décision. Quoi qu'il en soit, il sera toujours tant au moment venu de freiner des 4 fers et d'opérer un virage à 180 ° si cela ne se passe pas bien. J'ai peur de retrouver les traumatismes que j'ai développé lorsque j'ai tenté de réintégrer la fac à bac +2. Je souffre encore 2 ans après de problème apparu lors de cette année totalement infernale. 

Je souhaite ainsi laisser une trace de ces expériences ici présent afin de voir si mon intuition de ne pas intégrer ce bac+4 était bonne ou si j'ai réussi à tirer du bon de cette expérience. 

Pour l'instant il est minuit passé et je me lève dans moins de 5 heures pour travailler. Mes cycles biologiques n'arrivent pas à se maintenant correctement de par les nombreuses stimulations sensorielles qui me sont insupportables au quotidien. Pas une heure ne passe sans que je n'ai envie de mettre le feu ou de donner des coups pour dans chacun des murs de notre appartement insalubre. C'est une honte de laisser vivre des êtres humains dans ce genre d'environnement irrévocablement délétère et dommageable pour leur organisme. Les systèmes de caste, les population esclaves et bourgeoises ne sont pas l'acabit de sociétés anciennes. Tout cela existe bien présentement, mais le tout est habilement lissé et caché. Il n'y a qu'à voir les révoltes des derniers temps de groupes comme les gilets jaunes dans lesquels se sont retrouvé une part importante de la population ( nous passerons ici l'hypocrisie des classes sociales supérieurs s'étant ralliées au mouvement mais ne présentant aucune légitimité à ce que soit le cas puisqu'ils sont en partie coupables de ce système de caste ). Les revendications n'ont pas étés écoutées en majorité et après des changements mineurs, tout est rentré dans l'ordre. Il semble actuellement impossible de faire marche arrière - ou avant - et de ne plus être enlisé dans ce sytème castrateurs ou le déterminisme sociale prime sur tout le reste. Les riches engendrerons des riches et les pauvres engendrerons des pauvres dans la grande majorité des cas observés. Les études statistiques et les observatoires des inégalités sont absolument unanimes à ce sujet. 

Les pauvres sont malades et vives moins longtemps que les riches. Les pauvres, ou même simplement les castes sociales normées ont moins accès aux études supérieurs, vecteur principale de réussite et d'accès aux castes supérieures à l'heure ou j'écris cela bien que la tendance est légèrement au changement avec l'avénement des nouvelles technologies permettant à quelque rares individus de devenirs des transfuges et de passer d'une extrémité de l'échelle sociale à l'autre. Quoi qu'il en soit, le fait qu'il existe un terme pour symboliser le changement de classe d'un individu signifie (i) que les classes sociales existent bel et bien et que beaucoup d'individus sont lésés ( une partie infinitésimale de la population détient la quasi totalité des richesses planétaires ) et que (ii) leur présence et leur impact sur les êtres humains sont suffisamment clivants pour que des sociologues, des psychologues et des humanistes en tout genre  s'intéresse aux rares individus capables de changer de classe sociale et à l'effet que cela peut avoir sur leur rapport au monde. 

Pourtant il suffirait que tous les ouvriers cessent de travailler pour que nous obtenions possiblement quelque chose. Car si la société peut fonctionner sans des bureaucrates aussi méprisables qu'inutiles et nombreux, il est certain que l'arrêt d'un petit nombre de postes ouvriers peut induire une pagaille monstre à une échelle globale. Il suffit que des employés d'une chaine de production d'une usine quelconque ne viennent pas tous ensemble pendant un mois pour que l'on observe des pénuries au sein de supermarchés environnants. Mais là, les classes sociales les plus basses seront gravement affectées. Des actions globales et précises visant des industries relatives aux individus aisés serait donc plus judicieuses. Quoi qu'il en soit nous en revenons au point précédemment cité. Sans les petites mains populaires, le système ne fonctionnerais pas, et ces gens méritent toute la reconnaissance du monde ou du moins d'être reconnu à leur juste valeur et en accord avec l'importance de leur rôle dans le système.

Cela m'a fait du bien d'écrire ici une vingtaine de minutes et je pense revenir afin de garder une trace de l'état de ma pensée. Pour l'instant, je dois me coucher le ventre quasiment vide et me lever dans quelque heures, justement pour aller travailler dans une usine. 

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